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Selon les données obtenues de l’Association canadienne des entraîneurs, 19 % des entraîneurs olympiques et 31 % des entraîneurs paralympiques du Canada aux Jeux de Paris 2024 s’identifient comme des femmes. Bien que ces chiffres soient décevants, ces femmes ont coaché avec distinction, et le Journal est fier de présenter huit d’entre elles dans ses deux prochains numéros.

Le numéro de janvier met en vedette les entraîneures olympiques Jocelyn Barrieau et Kim Gaucher et les entraîneures paralympiques Carolyn Murray et Nicole Ban. Dans le numéro d’avril, vous trouverez des entretiens avec les entraîneures paralympiques Carla Nicholls et Michele Sung et les entraîneures olympiques Catharine Pendrel et Laura Brown. Leur ouverture, leur sagesse, leur engagement envers leurs athlètes et leur amour du sport offrent un enseignement essentiel à toutes les personnes déterminées à faire augmenter le nombre d’entraîneures au Canada.

La commission du CIO pour l’égalité des genres, la diversité et l’inclusion a annoncé que le pourcentage d’entraîneures était de 11 % à Rio et de 13 % à Tokyo et à Paris. Une note d’espoir pour les entraîneures est l’amélioration significative du pourcentage d’officielles techniques internationales, qui est passé de 18 % à Rio à 32 % à Tokyo et 37 % à Paris. À la rédaction de ce numéro, le Comité international paralympique n’avait pas encore fourni de statistiques sur les entraîneures pour 2024. – Sheila Robertson, rédactrice en chef du Journal.

Les conversations ont été éditées et abrégées.

Les avis exprimés dans les articles du Journal canadien des entraîneures sont propres à leurs auteur(e)s et ne reflètent pas nécessairement les politiques de l’Association canadienne des entraîneurs.