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Vol. 22, No. 3

À mesure que l’iniquité et l’exclusion font de plus en plus place à la diversité, l’équité et l’inclusion, la société doit renforcer le leadership des femmes noires, qui tend à prendre de l’expansion dans la plupart des secteurs de la vie au Canada. Cependant, la réforme du monde de l’entraînement, principalement dominé par des hommes blancs privilégiés, a peu progressé. Si la plupart des entraîneures vivent des inégalités, comme l’a souvent indiqué le Journal canadien des entraîneures, c’est encore plus vrai pour les entraîneures noires qui aspirent à la réussite dans leur carrière.

Le Programme de mentorat d’entraîneures noires (PMEN), que Janelle Joseph décrit ici de façon touchante, est une première étape essentielle pour renverser l’exclusion trop souvent vécue par les femmes noires pour qui une carrière en entraînement est souvent inaccessible. Selon une mentorée : « Je n’avais jamais même espéré devenir entraîneure à temps plein… Ce n’est même pas, disons, raisonnable d’entretenir ce rêve parce qu’il n’y a tout simplement pas de possibilités. » Le mentorat formel, comme celui offert par le PMEN, est essentiel pour renverser une situation intolérable. – Sheila Robertson, rédactrice en chef

Les avis exprimés dans les articles du Journal canadien des entraîneures sont propres à leurs auteur(e)s et ne reflètent pas nécessairement les politiques de l’Association canadienne des entraîneurs.

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