Les études sur les PFE nous donnent plusieurs pistes quant aux différentes façons d’en améliorer la mise en œuvre et la prestation. L’une d’elles consiste à y intégrer l’apprentissage continu pour accroître l’investissement des participants (partage des expériences, coapprentissage, etc.). On peut par exemple miser sur les communautés de pratique, les discussions de groupe, une combinaison de réunions en personne et en ligne et les séances de suivi. La mise en œuvre est aussi efficace lorsque les formateurs peuvent profiter d’occasions de perfectionnement qui touchent au soutien continu, comme les programmes pour responsables de la formation des entraîneurs. D’autres stratégies : proposer une première communication afin de relever les attentes des participants et mieux les préparer aux ateliers; obtenir le soutien des parties prenantes; et appliquer des stratégies d’apprentissage uniques qui améliorent la qualité de la formation, par exemple le recours à des études de cas ou à des fiches d’étude. Cela dit, les contraintes de temps peuvent nuire à la mise en œuvre des PFE. Qu’elles concernent la durée d’un atelier ou le temps alloué aux participants pour mettre les stratégies en pratique, elles compliquent le transfert de valeurs et l’application des théories. Le manque de ressources physiques, comme un environnement d’apprentissage trop petit, peut aussi compromettre la mise en œuvre. Pour pallier ces inconvénients, il faut présenter les différents modules au moyen de séances plus courtes, condenser la théorie afin de se concentrer davantage sur la pratique, et offrir des séances de suivi une fois le PFE terminé afin d’y aborder la matière laissée de côté. Comme le contenu du programme est déjà suffisamment dense, ces pratiques évitent de surcharger les entraîneurs. Elles permettent aussi d’accorder plus de temps aux discussions et aux interactions entre pairs.

Dans le cadre d’un PFE, les entraîneurs apprennent plus aisément lorsque la matière est concrète et pertinente, parce qu’elle est alors applicable à leur pratique. C’est pourquoi on gagne à recourir aux démonstrations, aux anecdotes, à la tenue d’un journal de réflexion, au contenu multimédia et aux études de cas. De plus, en misant sur les interactions favorisant l’apprentissage social, comme le partage d’idées, le travail d’équipe et les jeux de rôles, on expose les entraîneurs à de nombreux points de vue et on leur fait vivre des expériences de coapprentissage. La rétroaction et la réflexion offertes en continu par les instructeurs et les pairs dans le cadre de séances structurées peuvent également renforcer les apprentissages. D’ailleurs, l’apprentissage est favorisé par une structure progressive, c’est-à-dire le passage de la théorie → au contenu → aux stratégies → à la pratique → à la réflexion et → au suivi. 

L’apprentissage peut être difficile si le contenu n’est pas adapté à la pratique et aux besoins professionnels des entraîneurs. En revanche, si le contenu est trop pointu, il peut être difficile de l’appliquer à une situation plus générale. Quant aux contraintes de temps, elles peuvent limiter les occasions d’apprentissage (ex. : trop peu de moments pour la mise en pratique). Parallèlement, le manque de soutien, de mentorat et de rétroaction continus peut démotiver les entraîneurs; si c’est le cas, les chances sont moindres qu’ils améliorent leur pratique. Enfin, un contenu trop restrictif et le jargon scientifique peuvent également nuire à l’apprentissage. 

Les avantages d’un PFE varient selon le mode d’enseignement. Les PFE offerts en personne (ateliers, séminaires, etc.) favorisent l’apprentissage actif. Ceux en ligne (webinaires, cours virtuels, etc.) offrent une grande liberté de communication aux participants, ce qui se traduit par un engagement accru et des réflexions plus riches. Quant aux PFE universitaires, comme le baccalauréat en entraînement sportif, ils proposent souvent des stages qui donnent aux participants une expérience de travail sur le terrain.

Participer à un programme de formation des entraîneurs (PFE) sportifs peut avoir une incidence sur la philosophie et la pratique de l’entraîneur, de même que sur ses athlètes. La philosophie d’entraînement, est la combinaison du savoir, des habiletés, des attitudes et des intentions de l’entraîneur par rapport à son contexte de travail. Cette philosophie peut soit être renforcée (l’entraîneur reconnaît les forces de ses pratiques actuelles), soit redéfinie afin d’évoluer (l’entraîneur apprend à concilier ses valeurs d’entraînement, les besoins de ses athlètes et le contexte). L’entraîneur peut enrichir ses connaissances dans des domaines comme les stratégies interpersonnelles (ex. : développement d’une relation entraîneur-athlète et enseignement de compétences de vie), les stratégies propres au sport, la prévention des risques et les bienfaits d’un mode de vie sain et actif, et gagner par conséquent en confiance et en autoefficacité.

Concrètement, les changements de philosophie s’incarnent dans une modification de la pratique (ex. : l’entraîneur intègre les modèles/stratégies du PFE). En fait, une telle modification est plus probable si le contenu du PFE tient compte du contexte ou si l’entraîneur a le droit d’intégrer certaines stratégies à ses pratiques existantes. Par ailleurs, on note que si aucun soutien n’est offert après le PFE (mentorat, rétroaction, etc.), les entraîneurs sont moins portés à changer leurs comportements ou à adopter certains éléments du programme. Parmi les facteurs qui nuisent à la modification de la pratique figurent les obstacles infrastructurels, comme un manque de ressources environnementales nécessaires à la mise en œuvre des programmes, et les contraintes de temps (programmes très chargés, entraîneurs trop occupés, etc.). 

Enfin, en modifiant sa pratique, l’entraîneur peut avoir une plus grande incidence sur l’athlète. Selon le contenu du PFE et la mesure dans laquelle l’entraîneur sait l’appliquer, l’athlète améliorera sa maîtrise des compétences de vie. Il affichera en outre des comportements plus prosociaux, et ses besoins psychologiques fondamentaux seront mieux satisfaits.

Système de formation des entraîneurs

Il n’existe aucun système national ou olympique pour la formation des entraîneurs. Cela dit, de nombreux programmes d’accréditation s’offrent à eux :

• le certificat international de perfectionnement offert par le Comité olympique américain;
• le programme général en sciences du sport appliquées de l’Université de Barcelone;
• le programme de formation des entraîneurs de soccer recommandé par l’académie angolaise de soccer;
• le programme de formation des entraîneurs d’athlétisme recommandé par la Fédération internationale d’athlétisme.

Exigences liées au rôle d’entraîneur

L’article 33 de la « loi du sport » (1998) prévoit que l’enseignement d’activités techniques dans le domaine du sport (l’entraînement) nécessite des qualifications adéquates de même qu’une participation régulière aux programmes de certification. Toutefois, elle n’apporte aucune précision quant au type de programme ou aux qualifications requises. 

Système de formation des entraîneurs 

En Argentine, la formation des entraîneurs se fait par le truchement de programmes offerts par les fédérations sportives nationales et par les écoles nationales d’entraînement. Il n’existe pas de programme d’accréditation national ni d’académie olympique. 

Traditionnels, ces programmes de certification proposent quatre niveaux de compétence, du sport communautaire à la haute performance. Pour y participer, il faut avoir au moins 18 ans et avoir terminé ses études secondaires. Ils sont offerts en ligne comme en personne et prévoient des séances pratiques et des stages. La charge de travail varie selon le niveau et le sport.

Exigences liées au rôle d’entraîneur

Selon la loi du sport (27202/2015), « les entraîneurs doivent posséder des qualifications reconnues par le ministère de l’Éducation, les associations civiles de deuxième degré ou les entités sportives supérieures ». Par entités sportives supérieures, on entend les fédérations sportives et les écoles nationales d’entraînement.

Système de formation des entraîneurs

Il n'y a pas de système national de formation des entraîneurs au Botswana; le pays s'appuie sur les programmes proposés par les organisations internationales. Cependant, le Comité Olympique du pays a développé un programme de formation de base pour les entraîneurs, connu sous le nom de Cadre de développement à long terme des entraîneurs du Botswana. Les entraîneurs peuvent se concentrer sur l'un de ces trois contextes :  

• A. Milieu communautaire et écoles primaires : Acquisition d’habiletés liées aux fondements du mouvement et au sport grâce à des activités simples et amusantes.
• B. Jeunes et écoles secondaires : Consolidation des habiletés requises pour pouvoir passer au niveau compétition et reconnaître les talents potentiels.
• C. Adultes et établissements d’enseignement postsecondaire : Peaufinement des habiletés et atteinte de l’excellence grâce à des entraînements périodisés de niveau élite. 

À l’intérieur de chacun de ces contextes le programme inclue :  

• Niveau 1 : Cours 1 (deux semaines) suivi d’un examen.
• Niveau 2 : Mentorat et portfolio (plans d’entraînement, horaires, performance, nombre d’athlètes et toute autre information qui enrichit les connaissances de l’entraîneur).
• Niveau 3 : Cours 2 suivi d’un examen.
• Niveau 4 : Mise en pratique et portfolio. 

Exigences liées au rôle d’entraîneur :

Aucune exigence en matière de formation, tous types d’entraîneurs confondus. 

Statuts professionnels existant :

Les entraîneurs sont, pour la plupart, des bénévoles, sauf pour quelques entraîneurs professionnels de soccer et d’athlétisme. 

Système de formation des entraîneurs

1. Baccalauréat en éducation physique

• 3 200 heures de cours
• Les cours présentent principalement du contenu propre au sport, comme l’enseignement d’habiletés techniques et tactiques en nage, soccer ou volleyball. 

2. Programmes de certification

• La formation continue des entraîneurs se fait par le truchement de programmes de certification offerts par diverses fédérations sportives et le Comité olympique brésilien.
• Douze fédérations offrent couramment un programme de certification : athlétisme, badminton, canoë, soccer, lutte, rugby, plongeon, tennis, tennis de table, triathlon, volleyball et volleyball de plage.
• Chaque fédération offre jusqu’à cinq niveaux de certification.
• La durée des cours varie de 40 à 850 heures.
• Chaque niveau de certification est conçu selon une perspective traditionnelle, c’est-à-dire en fonction du contexte compétitif (ex. : au niveau 1, les athlètes ont moins de 14 ans; au niveau 2, moins de 18 ans).
  Les cours sont axés sur des connaissances propres au sport (techniques, tactiques, préparation physique, méthodes d’entraînement). 

3. Académie des entraîneurs du Brésil

• Cette académie a été créée par le Comité olympique brésilien.
• Elle favorise le perfectionnement des entraîneurs de haut niveau. 
• Deux volets : athlètes en développement et athlètes de performance. 
  • D’une durée d’environ 400 heures, le programme propose différents cours, un peu comme un baccalauréat. 

Requirements to coach 

Bachelor’s degree in physical education required to be eligible for any professional license to work in any sport context (exceptions are soccer and martial arts).

Système de formation des entraîneurs

Différents parcours sont offerts par l’intermédiaire de divers réseaux, dont les fédérations sportives, les organisations de district, les instituts de sport, les universités, les associations d’entraîneurs, les académies de sport, l’Institut de recherche sur les sports olympiques, les réseaux d’experts et la Fédération sportive de Finlande.

Contextes 

A. Programmes de formation des fédérations sportives axés sur les compétences Ces programmes respectent un cadre national (VOK) qui s’adapte aux besoins propres au sport.

• Au niveau 1, on s’assure que l’entraîneur développe les compétences nécessaires pour offrir une séance d’entraînement.
• Au niveau 2, on aborde les compétences nécessaires pour la planification, la prestation et l’évaluation d’une saison ou d’une année d’entraînement.
• Au niveau 3, on étudie les compétences nécessaires pour savoir planifier à long terme et guider l’athlète tout au long de sa carrière. 

B. Programme de formation professionnelle des entraîneurs 

• Entraîneur adjoint, entraîneur professionnel, entraîneur professionnel spécialisé

C. Programmes d’études supérieures

• Bachelor’s, Master’s, and Doctoral degrees

Système de formation des entraîneurs

Il existe deux systèmes. Le certificat pour les entraîneurs du Royaume-Uni (UKCC) est agréé en vertu du cadre de qualifications et de crédits (QCF). Le programme de perfectionnement des entraîneurs de l’Irlande (CDPI) sera bientôt reconnu au titre du QCF. 

Certificat pour les entraîneurs du Royaume-Uni

• Niveau 1 : Programme conçu pour aider les entraîneurs qualifiés à présenter les différents aspects des séances d’entraînement (habituellement sous supervision directe).
• Niveau 2 : Préparation, prestation et révision des séances d’entraînement.
• Niveau 3 : Planification, mise en œuvre, analyse et révision des programmes d’entraînement annuels.
• Niveau 4 : Programme de formation professionnelle avancé conçu pour les entraîneurs de haut niveau ou possédant un bon bagage d’expérience. 

Programme de perfectionnement des entraîneurs de l’Irlande 

• Introduction : S’amuser grâce au sport.
• Niveau 1 : Apprendre à s’entraîner.
• Niveau 2 : S’entraîner à s’entraîner.
• Niveau 3 : S’entraîner à la compétition.
• Niveau 4 : S’entraîner à gagner. 

Requirements to coach

None. Primarily volunteers. Paid positions are limited to governing bodies of sport and local authorities.

Système de formation des entraîneurs

Les programmes destinés aux entraîneurs sont offerts par des établissements d’enseignement et des fédérations. 

• Programme d’études secondaires : Niveau 1. Milieu sportif : fédérations.
• Programme professionnel : niveaux 2, 3 et 4. Milieu sportif : fédérations.
• Programme d’études supérieures : niveau 5. Milieu sportif : entraîneur de haut niveau. 

TopCoach5 est le programme de plus haut niveau. Il s’agit d’un partenariat unique entre deux universités de sciences appliquées, le Comité olympique des Pays-Bas et les fédérations sportives nationales. Axé sur les compétences (connaissances, habiletés, attitudes et qualités personnelles), il couvre plusieurs sports, et dure 2 100 heures. 

• Connaissances : Pour enrichir les concepts, la vision et l’approche des entraîneurs en formation. Réunions de deux jours.
• Habiletés : Formation pratique supervisée par au moins un entraîneur
  d’expérience.
• Attitudes : Parmi les habiletés liées au programme figurent la capacité à mener des entrevues, à se servir du programme d’analyse vidéo et à faire de l’arraché un exercice de renforcement.
• Qualités personnelles : L’étudiant choisit son mentor, une personne qui a de l’expérience dans le milieu, mais pas dans son sport. Le mentor est le seul expert qui garde un lien avec l’étudiant pendant toute la formation (de 8 à 24 mois). 
• Assessment: A competence-test. Each student indicates the point at which he or she wants to be assessed.

Système de formation des entraîneurs

Les qualifications visées s’inscrivent dans un cadre reposant sur les résultats d’apprentissage. Toutes les fédérations sportives doivent ainsi se doter d’un cadre qui arrime le développement de l’athlète à l’un des quatre niveaux de formation de l’entraîneur. Plus le niveau est élevé, plus l’entraîneur travaille auprès d’athlètes de haute performance; cela se traduit par une matière plus complexe et des heures de cours plus nombreuses. Même si le système de formation des entraîneurs dépend du contexte de pratique, c’est-à-dire du sport et du stade de développement des athlètes, le cadre de formation, lui, est construit de manière linéaire et hiérarchique, selon une progression (d’athlètes débutants à athlètes de haut niveau). Cette correspondance entre la formation de l’entraîneur et le stade de l’athlète fait donc en sorte que les entraîneurs les moins expérimentés s’occupent des premières phases de développement (Resende et coll.96)

Quatre cheminements mènent au titre d’entraîneur professionnel certifié : 

1. la formation technique et professionnelle (offerte par les établissements certifiés par l’institut national du sport);
2. la formation universitaire (maîtrise et doctorat en sciences du sport et en éducation physique);
3. la reconnaissance des compétences (pour les anciens athlètes, par exemple);
4. la reconnaissance des certifications obtenues à l’étranger.  

Dans un cycle donné, les entraîneurs certifiés doivent participer à plusieurs programmes officiels s’ils veulent conserver leur licence (conférences, ateliers, cours pratiques et autres offerts par les établissements d’enseignement et les fédérations et associations sportives).

Requirements to coach 

Since 2008, access to and provision of sports coaching activity was limited to coaches who earned a coach certificate. The national government now regulates access to education and training, curriculum, the level of teachers, monitoring, funding and licensing. The government also delivers financial support to education providers, clubs, and participants based on direct costs of coach education and the number of participants.

Système de formation des entraîneurs

Quatre niveaux de licence : D, C, B et A.

• Licence D : Niveaux récréatif et jeunesse, aucune expérience requise. 
• Licence C : Niveau intermédiaire; programmes sport-études avec compétitions régionales et nationales. Au moins un an d’expérience.
• Licence B : Niveau supérieur; ligues professionnelles. Au moins trois ans d’expérience.
• Licence A : Niveau élite; permet à l’entraîneur de travailler à tous les niveaux, y compris au sein d’équipes nationales. Au moins trois ans d’expérience.

Une licence est valide pendant quatre ans, après quoi l’entraîneur doit présenter une demande de renouvellement à l’établissement d’enseignement l’ayant décernée. Il est alors admissible au prochain niveau.

Exigences liées au rôle d’entraîneur

Baccalauréat en sciences du sport obtenu auprès d’un établissement collégial ou universitaire agréé, avec spécialisation dans le sport visé. 

Système de formation des entraîneurs

Les programmes de formation des entraîneurs sont régis par les lois en vigueur et divisés en trois niveaux. Quant à la structure de formation de chaque niveau, elle comprend deux phases : il faut d’abord acquérir des connaissances et compétences générales, puis, dans un deuxième temps, des connaissances propres au sport.

• Niveau 1 : Entraîneur sportif. Acquisition des compétences permettant de travailler dans le cadre de programmes sportifs communautaires (250 heures).
• Niveau 2 : Entraîneur senior. Acquisition des compétences permettant d’offrir un entraînement structuré aux jeunes et aux adultes (465 heures).
• Niveau 3 : entraîneur senior. Acquisition des compétences permettant d’entraîner des jeunes et des adultes de haut niveau (210 heures).  

Programmes des fédérations sportives 

Chaque fédération est tenue d’offrir une formation propre au sport. Proposés
périodiquement, ces cours comportent des volets théoriques et pratiques et reposent tous sur des connaissances communes. Ce contenu doit être acquis préalablement, lors de cours offerts par les centres de formation professionnelle nationaux; y sont abordées des connaissances techniques et scientifiques qui serviront de base à la spécialisation choisie. Après coup, les professionnels de l’éducation physique peuvent demander la permission d’utiliser les sujets étudiés lors de cette formation initiale. Quant aux athlètesde haut niveau, il se peut qu’ils remplissent déjà certaines exigences et possèdent déjà certaines connaissances.

Exigences liées au rôle d’entraîneur

• Pour devenir technicien du sport (entraîneur), il faut être âgé d’au moins 18 ans, posséder son diplôme d’études secondaires et, dans certains cas, remplir des exigences propres à un sport ou avoir été athlète.
• Le titre de technicien du sport senior (entraîneur senior) est accessible aux techniciens du sport âgés d’au moins 20 ans et capables de démontrer, en se soumettant aux tests de leur fédération, qu’ils possèdent les compétences de bases exigées.