Aller au contenu principal

Vol. 22, No. 4

Natalie Durand-Bush, Jennifer Misurelli, et Mikaela Papich

Longtemps ignoré dans le monde du sport, l’important rôle de la santé mentale sur le plan de la performance a aujourd’hui taillé sa place dans la conscience collective, notamment grâce à des athlètes olympiques très médiatisés, comme la gymnaste Simone Biles, le nageur Michael Phelps, la joueuse de tennis Naomi Osaka et la skieuse Lindsay Vonn, qui ont choisi de lever le voile sur leur épuisante lutte contre la dépression et ses effets sur leur performance.

Plus près de chez nous, des athlètes canadiennes de haut niveau comme Melissa Humena-Parades en volleyball de plage, Rosie MacLennan en trampoline et Alysha Newman en saut à la perche, ont parlé ouvertement de leurs troubles de santé mentale, bravant la stigmatisation qui a couvert pendant si longtemps de tels troubles, comme un sombre et honteux secret.

Dans le monde complexe et stressant où l’on vit aujourd’hui, il est essentiel pour les entraîneurs de comprendre les effets de la santé mentale sur la performance de leurs athlètes, qu’ils soient positifs ou négatifs. Les trois auteures du dernier article du Journal partagent leur expertise professionnelle et leur expérience personnelle, et présentent une série de tactiques et d’outils d’autoévaluation détaillés visant à « encourager et à protéger le bien-être dans les environnements d’entraînement et de compétition ».

Cet article percutant permettra certainement aux entraîneurs de se rendre compte du pouvoir considérable de la santé mentale. Une lecture incontournable. – Sheila Robertson, rédactrice en chef

Les avis exprimés dans les articles du Journal canadien des entraîneures sont propres à leurs auteur(e)s et ne reflètent pas nécessairement les politiques de l’Association canadienne des entraîneurs.

Téléchargement