L’objectif de cette boîte à outils est de fournir aux entraîneurs et aux organisations sportives des moyens concrets de mettre en œuvre des stratégies de coaching positives dans leur environnement sportif. En particulier, elle vise à élargir les définitions actuelles de la réussite dans le sport et à fournir des suggestions aux entraîneurs pour mettre en oeuvre des méthodes d’entraînement plus positives dans leur répertoire.

La maltraitance des athlètes dans le sport est devenue une préoccupation de plus en plus importante dans la recherche et la pratique. Bien que de nombreux chercheurs et praticiens aient préconisé des styles de coaching positif (tels que le coaching favorisant l’autonomie et axé sur l’athlète) comme solutions de rechange aux styles de coaching abusifs, ces approches n’ont pas gagné en popularité dans la pratique. Bien qu’il existe des preuves montrant que les approches de coaching saines favorisent la satisfaction des athlètes et leur fidélisation, elles n’ont toujours pas été associées à des résultats dans la performance17,18. Ainsi, il n’y a pas assez de preuves pour démontrer que les techniques de coaching positif peuvent produire des résultats de haute performance. Cette étude comble cette lacune.

La Ligue professionnelle de hockey féminin : De la déception au triomphe et l’avenir des entraîneures

L’Association canadienne des entraîneurs (ACE) a élaboré le Programme de mentorat d’entraîneures de haut niveau en 2020 avec le soutien de Sport Canada et en réponse à la priorité du gouvernement fédéral d’assurer l’équité entre les sexes dans le sport d’ici 2035.

Prendre une tête d’avance en sport PNCE : Trousse de marketing

Les entraîneurs doivent offrir un environnement sécuritaire aux participants pour permettre leur retour graduel au sport et à leurs activités quotidiennes après une commotion cérébrale. Une stratégie de retour au sport doit être mise au point en respectant les recommandations d’un professionnel de la santé.

En tant qu’entraîneur, vous pouvez jouer un rôle important en aidant les participants à éviter les commotions.

Le rôle de l’entraîneur n’est pas de diagnostiquer une commotion cérébrale, mais de reconnaître qu’une commotion a pu se produire et de retirer immédiatement le participant d’une situation à risque. Utilisez l’outil de reconnaissance des commotions cérébrales 6 (CRT6) pour déterminer si un participant a subi une commotion et savoir comment bien réagir.

Mythes sur les commotion cérébrales

Commotion cérébrale : Lettre confirmant le diagnostic médical

Commotion cérébrale : Lettre d’autorisation médicale

Fiche éducative sur les commotions cérébrales transmise avant le début de la saison

Commotions cérébrales en milieu scolaire : connaître votre rôle : Directeurs sportifs, entraîneurs, enseignants et autres superviseurs

Stratégie de retour à l’école après une commotion cérébrale

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